Sophie Karthaüser, soprano

Talentueuse soprano belge, que je n'ai pas encore entendue en direct, mais découverte grâce à mon amie Brigitte.

"L'Angleterre musicale a eu du flair : c'est grâce à une bourse conjointe du British Council et de la Fondation Belge pour la vocation que Sophie Karthäuser a pu faire ses classes à la Guildhall School, grâce au Prix du public au Wigmore Hall Song Contest 2003 qu'elle a été lancée sur la scène du récital. (...) Avec une première Pamina à La Monnaie en 2005, suivie de Susanna à Lyon puis Strasbourg et Beaune, Tamiri dans Il Re pastore au TCE en 2006 et Ilia dans Idoménée à l'Opéra du Rhin et au Festival d'Aix l'année suivante, son legato souverain, ses aigus lumineux, sa fraîcheur et sa grâce font de la jeune soprano belge une mozartienne de rêve. Et une interprète de rêve tout court, que les grandes baguettes demandent et redemandent : René Jacobs pour Orfeo (Euridice, La Musica) à La Monnaie, William Christie pour le rôle-titre d'Hippolyte et Aricie à Aix-en-Provence, et dernièrement Emmanuelle Haïm et Alain Altinoglu pour Thésée (Aeglé) et Falstaff (Nanetta) au TCE. Des débuts des plus prometteurs." [Virginie Schaefer-Kasriel]x
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