N'y allez pas. Ou plutôt, n'y allez que si vous êtes absolument fan d'Adrien Brody, qui s'en sort pas mal ; mais même.
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"Manolete" promettait pourtant une tranche d'histoire intéressante sur Manuel Rodríguez Sánchez, dit Manolete, le plus célèbre des toreros dans l’Espagne des années 1930. Nous avions choisi d'y aller car Frédéric connait la (vraie) fin du matador ; il a même écrit il y a trois ans au réalisateur pour la lui raconter, et nous allions examiner le résultat…
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Mais le film de Menno Meyjes s'est fatalement endormi sur l'histoire d'amour de Manolete avec Lupe Sino, organisant toute la dynamique et l'esthétique du film autour de cette romance. Rien sur la mère du toreador, rien sur le franquisme, et si peu sur les arènes… Restent les couleurs de l'Espagne, l'habit de lumière, la valse des "véroniques" sur le sable, et enfin Penelope Cruz… muy caliente !
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"Manolete" promettait pourtant une tranche d'histoire intéressante sur Manuel Rodríguez Sánchez, dit Manolete, le plus célèbre des toreros dans l’Espagne des années 1930. Nous avions choisi d'y aller car Frédéric connait la (vraie) fin du matador ; il a même écrit il y a trois ans au réalisateur pour la lui raconter, et nous allions examiner le résultat…
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Mais le film de Menno Meyjes s'est fatalement endormi sur l'histoire d'amour de Manolete avec Lupe Sino, organisant toute la dynamique et l'esthétique du film autour de cette romance. Rien sur la mère du toreador, rien sur le franquisme, et si peu sur les arènes… Restent les couleurs de l'Espagne, l'habit de lumière, la valse des "véroniques" sur le sable, et enfin Penelope Cruz… muy caliente !
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